Les 5 erreurs qui tuent la croissance de ton Substack
et comment les corriger aujourd'hui
La plupart des newsletters n’échouent pas à cause d’une mauvaise idée.
Elles échouent parce que leurs auteurs font des erreurs qui sabotent silencieusement la croissance. J’ai passé des heures et des heures sur plusieurs centaines de newsletters best sellers qui donnent les meilleurs conseils et voici le Top 5 des erreurs qui en ressort.
Le pire ?
Tu pourrais tout faire « correctement » – publier régulièrement, interagir avec les lecteurs, même obtenir des abonnés… et TOUJOURS rester bloqué.
Et les solutions ? Elles sont simples. Attention, simple ne veut pas dire facile. C’est du travail mais tu peux reprendre la main sur chacune d’entre elles.
PS ! cet article s’adresse aux auteurs qui écrivent pour développer, voire monétiser leur Substack. Si tu écris ici comme un journal, pas de soucis mais bien entendu ces erreurs ne te concerne pas , notamment la n°1.
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Erreur n°1 : Écrire pour soi-même plutôt que pour son public
La plupart des newsletters échouent parce que l’auteur parle de ce qui l’intéresse , au lieu de ce que son public VEUT réellement.
Si tes publications ressemblent à des entrées de journal, à des prises de position à chaud ou à des pensées aléatoires…tu passes à côté de la cible.
Mauvais exemple :
« Je viens de lire ce livre et j'ai eu quelques réflexions que je voulais partager... »
Meilleur exemple :
« Ce livre m'a appris un cadre simple qui m'a aidé à multiplier par 10 la croissance de ma newsletter. Voici comment vous pouvez également l'utiliser. »
La solution :
Arrête de deviner ce que veut ton public. Découvre le.
Lis les commentaires.
Regarde quels messages sont les plus performants.
Étudie les meilleurs dans ta niche.
Demande directement à tes lecteurs (sondages, DM, enquêtes).
Ton contenu doit résoudre leurs problèmes spécifiques , pas seulement diffuser tes pensées.
(Avant de continuer, si cet article résonne et t’aide, cela signifierait beaucoup pour moi si tu pouvais également le partager avec tes amis. C'est ainsi que nous grandissons tous ensemble.)
Erreur n°2 : des titres ennuyeux
Personne ne clique sur des titres ennuyeux. Et les gens ne cliquent pas, ils ne lisent pas.
Et s'ils ne lisent pas ? Ta newsletter meurt.
Ton titre doit susciter la curiosité, l’urgence ou l’émotion.
Mauvais exemple :
« Réflexions sur la création d'une newsletter »
Meilleur exemple :
« J'étais bloqué à 500 abonnés jusqu'à ce que je résolve ce problème »
La solution :
Utilise des chiffres : « 7 erreurs brutales qui tuent ta newsletter »
Pose une question surprenante : « Pourquoi certains écrivains explosent tandis que d’autres restent bloqués ? »
Fais-le à contre-courant : « La croissance des newsletters est une arnaque (à moins que vous ne fassiez cela) »
Créer FOMO : « Le Growth Hack 1 000 abonnés que j'aurais aimé connaître au début »
Avant d’écrire ton prochain article, demande toi :
Est-ce que je cliquerais sur ce message ? Si non, réécris le.
Erreur n°3 : Pas d'appel à l'action clair
La plupart des auteurs partent du principe que si le contenu est bon, les lecteurs s’abonneront, partageront et s’engageront comme par magie .
Ils ne le feront pas.
TU dois leur dire quoi faire.
Mauvais exemple :
Aucun CTA du tout.
Meilleur exemple :
« Si tu as trouvé cet article utile, clique sur « S'abonner » et obtiens des stratégies de croissance exclusives chaque semaine. »
La solution :
Chaque publication doit se terminer par un CTA spécifique :
Poser une question pour susciter l’engagement.
Inviter les lecteurs à partager la publication.
Diriger vers une offre payante, une ressource gratuite ou une communauté.
Leur dire de s’abonner s’ils ne l’ont pas déjà fait.
(Comme celui-ci 😉)
=> Tu veux une aide premium, choisis un des 3 outils que je te propose dans ma boutique pour une accélération immédiate de ta newsletter.
Erreur n°4 : Ne pas exploiter les fonctionnalités de croissance de Substack
Substack offre des outils de croissance gratuits .
La plupart des écrivains les ignorent.
La solution : commence à les utiliser AUJOURD'HUI :
Recommandations – Demande à d’autres newsletters de recommander la tienne. Cela peut à lui seul doubler ton nombre d’abonnés du jour au lendemain si tu le fais correctement.
Notes – C'est ainsi que tu seras découvert. Publie quotidiennement. Commente les autres Notes. Si tu n'utilises pas Notes, tu es invisible.
Chat – Transforme ton public en communauté . Organise des séances de questions-réponses, partage des mises à jour en coulisses et maintiens l'engagement des abonnés entre les publications.
Promotions croisées – Trouve des newsletters de taille similaire et échange des messages de bienvenue. C'est le moyen le plus rapide d'atteindre les audiences prêtes à s'abonner .
Erreur n°5 : Ne pas rendre ton contenu attrayant et lisible
Les meilleurs articles n’apportent pas seulement de la valeur , ils captivent également les lecteurs.
Si tes publications ressemblent à des pavés de texte , les gens arrêtent de lire.
Mauvais exemple :
Un énorme bloc de texte intimidant.
Meilleur exemple :
Des phrases courtes et percutantes.
Espaces pour une lecture facile.
Des points forts et des points clés à retenir.
Listes et puces pour plus de clarté.
La solution :
Avant de cliquer sur « publier », réponds à ces questions :
Est-ce que je lirais ceci sur mon téléphone ? (La plupart des gens le font.)
Est-ce que cela m'accroche dès les 3 premières lignes ?
Est-ce que c'est facile à parcourir ? Ou est-ce pénible ?
Plus ton contenu est facile à lire, plus les gens le liront réellement .
Résumé
La plupart des newsletters échouent à cause d’erreurs évitables.
Mais maintenant tu sais quoi réparer. Pas besoin de tout faire en même temps. Prends chaque étape tranquillement mais passe les toutes, le résultat en vaut la peine.
Écris pour ton public, pas juste pour toi.
Fais en sorte que tes titres soient impossibles à ignorer.
Donne des CTA clairs dans chaque publication.
Utilise les outils de croissance intégrés de Substack.
Rend ton contenu facile et attrayant à lire.
Quelle erreur est la plus fréquente pour toi ? partage en commentaire.
A très vite
Philippe.
Bonjour Philippe, merci pour cette piqûre de rappel.
L'erreur la plus fréquente ? Toutes ! Dans des proportions différentes, ce n'est pas tout noir non plus je crois.
Je reconnais que l'utilisation de Notes me crispe pas mal, en termes de cadence.
Je pers de vue le sens de venir ici pour trouver un endroit plus "Safe" que sur les autres réseaux sociaux quand je "dois" passer du temps à écrire des Notes chaque jour, à commenter, à repartager plusieurs fois...
En somme, mon cerveau est connecté en permanence à ce que je voulais fuir.
C'est le point le plus sensible pour moi ici, pour le moment.